Tu vis, mais t’as l’impression de traverser les jours comme un fantôme.
Tu fonctionnes. Tu fais ce qu’il faut. Mais tu ne ressens plus grand-chose, à part une fatigue qui colle à la peau.
Tout est devenu lourd. Même te lever. Même répondre à un message. Même sourire.
Tu te demandes parfois comment t’en es arrivé.e là.
C’est pas arrivé d’un coup. Non, ça s’est glissé doucement.
Un oubli de toi, une concession, un trop-plein, un jour sans…
Et un matin, t’as juste senti que t’étais plus dedans.
T’as commencé à douter de tout. À t’éloigner. À te sentir vide.
Parfois, tu pleures sans raison. Ou tu ne ressens plus rien du tout.
Et même quand tout semble “normal” autour de toi, à l’intérieur, ça hurle.
Tu sais que t’as besoin d’aide.
Mais t’as pas envie qu’on te juge.
T’as juste besoin qu’on t’écoute. Qu’on t’accueille. Qu’on t’aide à comprendre.
Et c’est pour ça que tu es ici.
Quand on est au fond, on ne voit plus rien.
Ni l’après. Ni les portes. Ni les possibles.
On croit que c’est figé. Qu’on est devenu comme ça.
Éteint. Usé. Perdu pour de bon.
Mais il existe encore des chemins doux.
Des matins où tu ne te lèves pas avec une boule au ventre.
Des moments de silence qui apaisent, au lieu de faire peur.
Des jours où tu te sens un peu plus là, un peu plus vivant.e.
Parfois, ça commence par pas grand-chose.
Un moment de paix, même furtif, qui te rappelle que tout n’est pas fini.
Tu n’as pas besoin de tout comprendre.
Tu n’as pas besoin de tout régler.
Parfois, il suffit juste de tendre la main.
Et de laisser quelqu’un t’aider à voir ce que toi, tu ne vois plus.
Et si, un jour, tu te levais sans cette fatigue dans la poitrine ?
Si tu n’avais plus besoin de porter un masque pour traverser la journée ?
Si tu pouvais juste être… sans lutter, sans fuir, sans culpabiliser ?
Un jour, la pression se relâche.
Les pensées tournent un peu moins vite.
Tu recommences à sentir. À rire. À respirer un peu plus profondément.
Tu trouves un rythme qui ressemble à toi.
Tu te surprends à ne plus tout encaisser, à dire non, à choisir ce qui te fait du bien.
Tes relations changent.
Pas forcément les autres, mais toi.
Parce que tu n’as plus besoin de t’oublier pour être aimé.e.
Tu ne deviens pas une autre personne.
Tu redeviens toi.
Et c’est immense.
Je suis magnétiseuse et praticienne en hypnose. Mon approche est un mélange subtil entre ce que le corps murmure et ce que l’inconscient cache.
Le magnétisme, c’est écouter ce que le corps ne dit pas, ressentir ces blocages invisibles pour les libérer en douceur. L’hypnose, c’est plonger dans l’inconscient, aller à la rencontre de ces parties de toi qui cherchent à s’exprimer, pour les apaiser.
Je crois profondément que le corps et l’esprit travaillent ensemble. Mon rôle est simplement de t’accompagner sur ce chemin vers plus de sérénité, en respectant ton rythme et ta sensibilité.
Je suis là, tout simplement, pour t’aider à retrouver ton équilibre.
COMMENT JE PEUX T'AIDER
Quand l’émotion déborde
Trop plein émotionnel, crises de larmes sans raison, angoisses, hypersensibilité, fatigue chronique, sentiment d’être à bout sans explication.
Quand le mental t’épuise
Pensées en boucle, ruminations, insomnies, perte de repères, envie de tout lâcher, sensation de vide ou de blocage intérieur.
Quand le passé te colle à la peau
Traumatismes émotionnels, relations toxiques, sentiments d’abandon, d’injustice, mémoire du corps douloureuse, peurs irrationnelles, auto-sabotage.
À celles et ceux qui…
– ressentent une tristesse sans cause apparente, ou traversent un grand vide intérieur,
– vivent une fatigue profonde, émotionnelle ou physique, qu’ils ont du mal à expliquer aux autres,
– ont l’impression de s’être éloignés d’eux-mêmes, de ne plus savoir qui ils sont ni ce qu’ils veulent,
– se sentent envahis : par les pensées, les émotions, la pression… sans réussir à poser ce trop-plein,
– ont l’impression de vivre à côté de leur vie, comme s’ils étaient là… sans vraiment y être,
– gardent tout pour eux, par peur de déranger, ou parce qu’ils n’osent plus dire qu’ils ne vont pas bien,
– ont déjà essayé mille choses pour aller mieux, mais sentent qu’il manque encore un espace plus doux, plus vrai, pour être enfin entendus.
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